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    08.04.2019

    Comment réduire l'impact environnemental de son alimentation ?

    • Nutrition / santé
    • Zoom sur...
    alimentation-environnement-green-food

    Emission de GES (gaz à effet de serre), dégradation des sols, raréfaction annoncée de la ressource en eau potable, consommation d'énergie, l'impact environnemental du contenu de notre assiette est loin d'être anodin. Comment le réduire ? Quels aliments privilégier pour une démarche plus respectueuse ?

    Lutter contre le gaspillage alimentaire

    L'aliment le plus respectueux de la planète, le plus économe en eau et le moins émetteur en CO2 est celui que l'on ne jette pas.

    Pourtant, en France, ce sont plus de 10 millions de tonnes de denrées alimentaires qui finissent dans une benne à ordures. Un immense gâchis dont la responsabilité incombe à tous les acteurs de notre chaîne alimentaire :

    • 29 kg de nourriture sont jetés annuellement par les consommateurs ;
    • 155 kg tout le long de la filière.

    Pourtant, l'adoption de quelques réflexes permettrait de considérablement réduire le gaspillage alimentaire :

    • acheter ce dont vous avez besoin, pas plus. Si elle n'est en rien révolutionnaire, la meilleure méthode reste de faire une liste de commissions ;
    • savoir différencier une date limite de consommation (DLC) d'une date limite d’utilisation optimale (DLUO) : dans le premier cas, il est impératif de ne pas dépasser la limite car il s'agit généralement d'aliments sensibles comme le poisson ou la viande. En revanche, dépasser de quelques jours ou semaines une DLUO n'est en rien préjudiciable à la santé du consommateur ;
    • cuisiner les restes car il est possible de mitonner de délicieux plats avec peu de choses ;
    • congeler le surplus pour conserver ses qualités gustatives et le consommer en toute sécurité ultérieurement.

    Pour les repas du midi pris en extérieur (cantine scolaire, self d'un lycée, restaurant d'entreprise, etc), là encore, il faut se servir uniquement ce que l'on est certain de manger.

    Bien choisir ses aliments

    Autre point essentiel pour limiter l'impact environnemental de ses aliments, savoir les choisir. Origine, type d'agriculture, transport, que faut-il prendre en considération ?

    Filière de production

    Privilégier une agriculture raisonnée ou une agriculture biologique, c'est soutenir une filière soucieuse de son impact environnemental. Ainsi, ces deux modes de production sont garants :

    • d'une moindre utilisation de pesticides et autres intrants lors de la production des fruits et des légumes ;
    • d'un attachement au bien-être animal ;
    • d'un respect des sols de manière à pérenniser la ressource.

    Consommer davantage de protéines végétales

    alimentation-environnement-proteines-vegetales-graines-alternatives

    Nos choix alimentaires influencent notre santé. C'est pourquoi, il est essentiel de manger sainement, diversifié et équilibré. Mais ils influent également sur notre environnement.

    Ainsi, la production industrielle de viande et produits laitiers dans le monde représente 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre, c'est-à-dire un chiffre équivalent à celui du transport. A cela, il faut ajouter la déforestation qui en découle et la quantité phénoménale d'eau nécessaire à cette activité.

    S'il n'est pas question pour autant de bannir les protéines animales de son régime alimentaire, il est possible de leur préférer des protéines végétales une à deux fois par semaine. Celles-ci sont particulièrement abondantes dans une foule d'aliments tels que les fèves, les haricots secs, les lentilles ou encore le soja.

    Origine des aliments

    Autre aspect impactant de notre alimentation, son origine. Il apparaît ainsi évident que des pommes produites en Normandie nécessitent un transport bien moindre que des fruits similaires mais en provenance d'Amérique du Sud. Par conséquent, privilégier une production nationale, voire locale, contribue à réduire les émissions de gaz à effet de serre en découlant.

    Si l'on ne peut que recommander de préférer les circuits courts, il ne faut pas non plus tomber dans l'excès inverse en prenant sa voiture pour aller d'un producteur à l'autre. Le bilan carbone serait alors désastreux.

    Légumes et fruits de saison uniquement

    Manger des fruits et légumes de saison fait également partie de ces réflexes contribuant à la préservation de notre planète. Cela veut dire par exemple, consommer des choux en hiver, des potirons à l'automne ou des fraises en été. Outre des saveurs et des parfums plus authentiques, leur valeur nutritionnelle est bien plus intéressante et permet de couvrir tous nos besoins, y compris en vitamines.

    Par ailleurs, le rejet de CO2 qui contribue au réchauffement climatique est nettement en faveur des productions de saison. Ainsi, la production de 1 kg de tomates est émettrice de :

    • 0,2 kg de CO2 en été en France ;
    • 0,5 kg de CO2 en été si elles sont d'origine espagnole par exemple. En effet, il faut ajouter le transport ;
    • 2,3 kg de CO2 hors saison en France, ce qui correspond à l'énergie nécessaire pour chauffer la serre.

    Dans le bio, la problématique est identique puisque certains végétaux sont cultivés loin de nos contrées, avec parfois un bilan carbone qui n'est pas toujours à leur avantage.

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